Margot Robbie très déçue de ne pas avoir embrassé Ryan Gosling dans le film “Barbie” !

Alors qu'ils partagent une grande partie des scènes dans le film "Barbie", Margot Robbie fait des confidences surprenantes sur le fait qu'elle n'ait pas pu embrasser Ryan Gosling. On vous dit tout ce que l'on sait sur ces révélations.

Écrit par Celia Barnade le

On aurait tout donné pour être à la place de Margot Robbie, actuellement à l'affiche du film "Barbie".

Voilà plusieurs mois maintenant que la réalisatrice, Greta Gerwig,nous a plongées dans l'univers iconique de la poupée la plus célèbre du monde, alors que le film a seulement débarqué dans nos salles sombres le 19 juillet dernier. Très attendu, elle a fait appel appel à un casting cinq étoiles composé de Margot Robbie, Ryan Gosling, Emma Mackey, Dua Lipa, Nicola Coughlan, Issa Rae, Connor Swindells et Ncuti Gatwa. Dans les rôles respectifs de Barbie et Ken, Margot Robbie et Ryan Gosling qui forment le duo parfait pour ce long-métrage événement.

Mais alerte spoiler ! L'actrice australienne n'embrasse jamais son partenaire, ce qui n'a pas manqué de susciter sa déception. On vous dit tout ce que l'on sait sur ces révélations surprenantes.

Barbie : Margot Robbie est déçue de ne pas avoir embrassé Ryan Gosling dans le film

S'ils partagent une grande partie des scènes, Barbie et Ken n'ont jamais partagé un seul baiser dans le film. Lors d'une interview accordée à People, un journaliste a demandé à Margot Robbie si elle n'était pas trop déçue de ne pas avoir embrassé l'une des plus grandes icônes d'Hollywood. Ce à quoi elle a répondu : "Euh non !" avec un rire. "Cela ne ressemblait pas à une victoire pour moi".

Mais ce n'était pas de l'avis de toutes ses copines qui lui ont dit "Tu as fait tout un film avec lui et tu ne l'embrasses pas ?Qu'est-ce qui ne va pas ? Je pensais que tu étais en quelque sorte responsable de celui-ci !'', a-t-elle déclaré. Margot Robbie a ajouté : "J'étais en mode, 'Je sais, je ne peux pas cocher celle-là [sur ma liste]'".

Du côté de Ryan Gosling, l'acteur était totalement d'accord avec la façon dont la relation entre Barbie et Ken évolue tout au long du film. Il a souligné : "C'était marrant de s'imaginer comment Barbie et Ken auraient pu s'embrasser. Mais je suis bien content que tout cela n'ait pas eu lieu au final".

Dans une précédente interview accordée à Vogue, Margot Robbie a expliqué comment elle s'est préparée à incarner Barbie sans aucun désir sexuel : "Je me dis, d'accord, c'est une poupée. C'est une poupée en plastique. Elle n'a pas d'organes. Si elle n'a pas d'organes, elle n'a pas d'organes génitaux. Si elle n'a pas d'organes génitaux, ressentirait-elle même le désir sexuel ? Non, je ne pense pas qu'elle le puisse", a expliqué l'actrice australienne. « [Alors oui,] elle est sexualisée. Mais elle ne devrait jamais être sexy. Les gens peuvent projeter du sexe sur elle. Oui, elle peut porter une jupe courte, mais parce que c'est amusant et rose. Pas parce qu'elle voulait que vous voyiez ses fesses".

Quelle est la relation entre Barbie et Ken dans le film de Greta Gerwig ?

Si le film est intitulé "Barbie", c'est aussi celui de Ken. Car oui, la réalisatrice nous a livré une intrigue qui s'intéresse à la masculinité parfois toxique, souvent fragile mais également au système patriarcal. 

Dans Barbieland, ce sont les femmes qui font la loi avec une Barbie Présidente, médecin, avocate, diplomate, lauréate du Prix Nobel de physique... Et tant d'autres. Quant aux Ken, ils ne sont qu'accessoires, qui n'ont pour seule préoccupation la plage et ne vivent qu'à travers les yeux de Barbie. Le personnage joué par Ryan Gosling déclare dès la première scène : "Ken ne passe une bonne journée que si Barbie le regarde".

Alors qu'au début du film Greta Gerwig s'amuse du statut de potiche de Ken, lorsqu'il part dans le monde réel, il y découvre le patriarcat. On assiste à des moments hilarants dans lequel Ryan Gosling comprend que ce sont les hommes qui dominent la société. De retour dans Barbieland, il est bien décidé à libérer les Ken de leur emprise afin d'y instaurer le fameux patriarcat.

À travers cette transformation radicale, la réalisatrice s'attaque donc à la masculinité fragile. Elle nous livre ici une vision du monde problématique où les hommes et les femmes sont sans cesse victimes de sexisme.

Au fur et à mesure de l'intrigue, Ken s'aperçoit que sa raison d'être est bien plus que d'être un simple accessoire pour sa poupée préférée. Grâce aux Barbies, tous les Ken parviennent finalement à percevoir la notion d'individualité dans toute sa fragilité. Si la fin nous offre un moment - un peu long - légèrement moralisateur, on retient tout de même une chose : il faut s'aimer soi-même avant de vouloir être aimé par quelqu'un d'autre

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