Pourquoi la pole dance sera – encore – l’activité physique la plus tendance en 2024 ?
Transpirer, se muscler, se lâcher... En se sentant sexy. What else ?
Écrit par Marie Ordioni le
C’est vrai, ces derniers jours, on a clairement fait n’importe quoi. Entre les repas et les verres par-ci par-là, on a complètement oublié de penser à notre santé et à notre ligne. Il faut dire qu’on n’avait pas vraiment l’intention de le faire… Tous les ans, à la même période, c’est la même histoire : on fait n’importe quoi.
Ce serait nous mentir de dire qu’on ira à la salle ce soir, histoire d’apaiser quelque peu notre conscience… Non, non. Jusqu’au Nouvel An, on le sait, on n’arrivera pas à quoi que ce soit. Mais promis, l’année prochaine, on s’y remet. Ouverture du bal des résolutions : ‘Faire attention’, ‘Se mettre au sport’, ‘Bien manger’… On connaît la chanson. Puisque tous les ans, à la même période, c’est la même histoire.
Mais cette année - et comme toutes les autres, d’ailleurs -, c’est VRAI. On a l’intention de s’y mettre. Et pour se motiver, on compte sortir des sentiers battus et explorer de tout nouveaux horizons. En tête de liste de nos résolutions : la pole dance. Tendance depuis quelques années, on vous dit tout sur ce sport aussi esthétique que physique…
La pole dance, c’est quoi ?
On l’a souvent vue dans des films, parlée d’elle de manière péjorative. Aujourd’hui, cette activité physique prend sa revanche… Pour notre plus grand plaisir. En quelques mots, la pole dance, c’est une discipline à la fois sportive et artistique. Elle consiste à danser autour d’une barre verticale, et réaliser des acrobaties en s’accrochant à elle. Longtemps, on l’a assimilée au strip-tease, mise de côté, et on n’a jamais songé à être curieuses avec elle. Mais depuis quelques années, elle est de retour sur le devant de la scène. Extrêmement mis en avant sur les réseaux sociaux,ce sport est plus que jamais tendance et dans l’air du temps.
Fitness, extériorisation et séduction
Mais que lui vaut tout cet engouement ? De multiples facettes. Avant tout son envergure physique : la pole dance fait travailler, tout en douceur, tous les muscles du corps. Bras, abdos, jambes et autres zones sont mobilisés sans pour autant être violentés, contrairement à d’autres activités. Le tout, en nous faisant transpirer. Rien de mieux pour un résultat harmonieux.
Aussi, c’est bien connu : la danse est une thérapie. Le fait de faire une chorégraphie ou d’improviser des mouvements sur des musiques nous permet de libérer les tensions et blocages enfouis dans notre corps. Sans même s’en rendre compte et avoir à s’exprimer oralement, on se soigne. On bouge. On se lâche. On extériorise… Saine de corps, saine d’esprit.
Enfin et surtout, la pole dance nous donne confiance en nous. Cette discipline s’inscrit dans l’art de la séduction : plus que jamais, on se sent belle et sexy lorsqu’on la pratique. Elle nous donne l’opportunité d’explorer des terrains parfois jamais - ou rarement - explorés… Et ce, sans que cela concerne quelque d’autre. Il n’y a que la barre, et notre reflet dans le miroir. Quartier libre. À nous de jouer !
À noter qu’il existe tous types de pole dance : fitness, artistique et sexy - ou exotique -. Bien que le principe soit le même pour les trois, leurs intentions varient en fonction de leur spécialité.
Une activité physique démocratisée
S’il y a quelques années, la pole dance était encore perçue du mauvais œil, elle s’est ainsi petit à petit inscrite dans les mœurs. Une arrivée qui a évidemment un prix : pendant un certain temps, on ne trouvait pas des cours à moins d’une vingtaine d’euros. Une époque complètement révolue, puisqu’aujourd’hui popularisée, la moyenne tourne autour des 15€/l’heure.
On peut également pratiquer cette activité chez soi : l’achat d’une barre fixe ou sur podium sera, à ce moment-là, notre seule et unique dépense. Un cours en ligne, et c’est parti !
En France, on en trouve partout dans les salles de danse, associations et écoles dédiées. Tous les niveaux y sont proposés - de débutant à professionnel -,et il est souvent possible d’y participer dès l’âge de six ans.
