Aya Nakamura, reine de France (et du monde ?) dans la dernière campagne Lancôme
Une fois de plus, Aya Nakamura nous prouve qu'elle est la rein de France. Cette fois-ci, c'est dans une campagne Lancôme et elle est tout simplement divine.
Écrit par Juliette Gour le
PAs une semaine ne passe sans que l'on parle de Aya Nakamura. Qu'elle soit juge de Nouvelle École, guest star au défilé Vogue World ou artiste francophone la plus écoutée du monde, elle n'a plus à prouver qu'elle mérite sans place dans le paysage culturel français - n'en déplaise aux haters. L'année dernière, la chanteuse a été nommée égérie de la maison Lancôme.
Elle renouvelle le partenariat une année de plus et nous offre, au passage, une toute nouvelle campagne. En bonne ambassadrice de la maison, elle nous offre une vision toujours plus glamour d'elle-même dans cette campagne exclusive pour la période estivale. Non contente d'être placardée dans les aéroports, les images seront également visibles sur la façade des Galeries Lafayette Haussman, pour que le monde entier - à Paris en période Olympique - puisse en profiter.
Appelée "Beauty Never Stops", cette campagne a été pensée pour représenter les valeurs de l'artiste.
Une Marianne 2.0 qui n'a pas fini de nous surprendre
En regardant le résultat finale, on ne peut que voir une subtile référence à l'image de Marianne. Les couleurs du drapeau Français sont éparpillées de ça, de-là, rappelant évidemment que Lancôme est une maison Française, amis également qu'Aya Nakamura représente cette France pleine de mixité.
Symbole culturel par excellence, on comprend évidemment le message que Lancôme a souhaité cacher dans la campagne : même si la place d'Aya Nakamura est discutée dans le paysage culturel Français, elle n'en reste pas moins un symbole, qui représente tout une génération. Celle que l'on attend de pied ferme sur la Seine le 26 juillet prochain pour lancer les hostilités des Jeux Olympiques de Paris n'a plus rien à prouver, juste à profiter de ce statut qu'elle a acquis au fil des années.
Redéfinir les codes de beauté à sa façon
Glamour et divine, Aya Nakamura prend sans effort la place qui lui revient. En porte-étendard de la diversité, elle rend la beauté plus inclusive - comme Rihanna avec Fenty - mais prouve également que la beauté n'a pas qu'un seul visage. C'était un pari osé pour Lancôme, maison de tradition, de faire ce choix en 2023, mais un an après, on ne peut que constater que ce pari a été payant. Faire le choix d'Aya Nakamura en égérie internationale, outre l'aspect marketing évident, permet d'ancrer la marque dans le présent.
Lancôme nous prouve donc - pour la seconde année consécutive - que c'est une marque qui comprend le monde et qui sait s'adapter. On peut faire le parallèle avec le Vogue qui, quand il est devenu France, a choisi Aya Nakamura en cover-girl. C'est une délicieuse façon de représenter la richesse de la culture française, en mettant en avant des personnes qu'on n’attendait pas forcément sur ces terrains-là, mais qui représentent tellement plus qu'une anonyme aux jambes interminables et à la peau blanche comme la neige.
À coup sûr, le monde entier sera séduit par cette nouvelle campagne, en tout cas pour nous, c'est chose faite.