Une collaboration
EFFICA$H : Investir quand on est jeune ? Une bonne idée, même quand on n’a pas des milliers
Non, épargner n’est pas réservé à papa-maman ou à mamie Jeannine ! Même jeune et même pas (encore !) très riche, on peut placer son argent pour essayer de le faire fructifier. Et plus tôt on s’y met, mieux c’est ! CORUM L’Épargne nous a donné plein de conseils pour nous lancer…
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"Tu verras quand tu seras grande !" "C'est un truc d'adulte !" Ou encore, notre préféré : "Tu es encore trop jeune pour comprendre"…
Grandir avec l'idée que le flouze, la tune, la moula, bref l'argent est un sujet pour les grands, c'est bel et bien terminé ! Car il est loin, bien loin, le temps où c'était un petit cochon qui gardait toutes nos pièces. On le sait, ce n’est pas dans une tirelire que nos petites économies vont s’amuser.
ON S’Y MET MAINTENANT !
Alors, investisseuses en herbe, la première idée à retenir, c’est qu’il serait dommage d’attendre encore pour commencer à épargner ! D’une part, entrer jeune dans le Game, c’est laisser plus de temps à son pactole de potentiellement grandir et faire des petits. D’autre part, si par malheur nos choix de placements nous font subir quelques pertes (même les meilleurs font parfois des erreurs… !), nous aurons encore tout le temps de rattraper les choses.
Bref, autant apprendre tout de suite à bien gérer son petit patrimoine. On sera bien contente, plus tard, d’avoir commencé tôt à constituer la cagnotte qui financera notre tour du monde !
Mais par où commencer quand on est jeune et qu’on ne roule pas encore sur l’or ?
L’idéal pour débuter : être bien accompagnée. Et c’est là qu’on a fait appel aux lumières de CORUM L’Épargne… Le pro de l'épargne nous a éclairées sur les meilleures façons d'investir son argent lorsqu'on est jeune et pas encore pleine aux as. Suivez-nous, on vous explique tout, de façon EFFICA$H, pour vous aider à y voir plus clair et à vous lancer. Ça va parler Cash sur table !
Et la première étape, avant même d’investir, c’est de définir son profil d'investisseuse et ses objectifs de placement, pour être sûre de faire les bons choix en fonction de ses projets et de ses goûts (ou non) du risque. Pas de panique : CORUM L’Épargne nous accompagne dans cet exercice de projection et d’introspection… !
Une fois qu’on se connaît mieux, passons aux choses sérieuses : déterminer le placement qui nous correspond. Parmi le panel de solutions qui existent sur le marché, deux ont retenu notre attention car elles sont intéressantes pour commencer à épargner : l'assurance vie et la SCPI (société civile de placement immobilier). Noooon, ne fuyez pas, on vous explique tout de suite dans le détail ce que c’est ! Et vous verrez, pas besoin d’avoir fait Harvard pour comprendre leur fonctionnement.
L’ASSURANCE VIE : le couteau suisse de l’Épargne
Qui a dit qu'assurance vie rimait avec retraite et fin de vie ? On vous rassure, malgré son nom, l'assurance vie n'est ni réservée aux personnes âgées ni synonyme de mauvais présage ! Elle est au contraire parfaitement adaptée pour démarrer dans le monde de l'investissement et accompagner nos projets de vie, quels que soient notre âge et le montant de nos placements.
Pour comprendre l’assurance vie, il faut s’imaginer une grande commode. Dans chaque tiroir, vous pouvez placer de l’argent. Et à chaque tiroir correspond un produit différent, qu’on appelle un fonds : fonds euro, SCPI, fonds obligataire, actions…
Elle est plus couramment utilisée pour préparer des projets de moyen ou long terme, comme l’achat d’une maison ou d'un appartement ou encore financer un voyage. Et si l'assurance vie plaît tant aux Français, c'est sans doute parce qu’elle a plus d’un tour dans son sac !
Et d’une, il est possible de démarrer sans forcément réaliser un gros apport. Quelques dizaines ou centaines d’euros suffisent bien souvent.
Et de deux, elle offre une vraie agilité puisqu’on peut décider soi-même des fonds qu’on y met. Pour reprendre l’image de la commode, c’est comme chez notre Suédois préféré : on rajoute et on déplace les tiroirs à notre guise pour en faire un vrai meuble sur mesure ! Plus il y a de tiroirs, plus le contrat est diversifié et par conséquent, plus le risque pris par notre épargne est lissé.
Et de trois, l’assurance vie bénéficie d’une fiscalité spécifique, à la fois en cas de retraits réalisés sur le contrat après 8 ans de détention et au moment de transmettre le patrimoine. Voilà une raison supplémentaire d’ouvrir un contrat sans tarder : prendre date. Les 8 ans d’ancienneté arriveront un beau jour sans même qu’on s’en rende compte.
Côté performance, tout dépend de la stratégie et des produits choisis. À adapter en fonction de ses objectifs et de son appétence au risque… Si vous n’êtes pas très joueuse, vous pourrez sélectionner des fonds plutôt prudents. Vous prendrez ainsi des risques modérés avec votre capital. Mais ne vous attendez pas alors à gagner des fortunes ! Rien ne vous empêche d’introduire dans votre assurance vie une proportion plus ou moins élevée de fonds plus dynamiques, pour aller chercher davantage de performance, à condition d’accepter en contrepartie un niveau de risque plus important de perte en capital. Les plus aventurières pourront tenter 100 % de fonds dynamiques et espérer voir leur épargne grossir plus rapidement. Mais gare aux risques d’autant plus forts de perte en capital sur ces produits évidemment plus aléatoires…
Le contrat d’assurance vie CORUM Life, distribué par CORUM L’épargne, permet d’épargner dans 7 fonds 100 % « maison » : 4 fonds obligataires (des fonds qui utilisent l’épargne que vous placez pour prêter aux entreprises) et 3 SCPI (des fonds qui utilisent votre épargne pour acheter des immeubles professionnels, loués à des entreprises qui payent des loyers qui vous sont reversés potentiellement). Comment ça se passe ? Un peu comme au restaurant : c’est à la carte ou au menu ! Soit vous composez vous-même votre répartition parmi les 7 fonds disponibles (sachant que vous ne pourrez dépasser 55 % de SCPI), soit vous optez pour l’une des 6 formules toutes faites proposées par CORUM Life.
Accessible dès 50 euros, le contrat CORUM Life ne comprend ni frais d’entrée, ni frais sur les versements, ni frais de gestion, ni frais d’arbitrage. Tout se passe comme si vous investissiez en direct dans les fonds qu’il contient. En revanche, chacun de ces fonds possède ses propres frais.
SCPI : pour commencer dans l’immobilier
D’accord, un acronyme pareil, ça n’envoie pas immédiatement du rêve… Mais attendez de découvrir ce qu’il recouvre et vous verrez, vous ne parlerez bientôt plus que de SCPI dans vos dîners en ville !
Les SCPI sont des sociétés regroupant des milliers d’épargnants et détenant des immeubles qu’elles gèrent. Elles encaissent des loyers potentiels et les restituent aux épargnants sous forme de dividendes réguliers non garantis.
En clair, la SCPI vous permet d’investir dans l’immobilier sans avoir à vous endetter sur 30 ans et sans risquer d’être appelée le dimanche soir par votre sympathique locataire pour cause de lavabo bouché ! Pas de prise de tête, toute la gestion est déléguée à la société qui gère la SCPI, en contrepartie de frais de gestion. Parce qu’on a mieux à faire de nos soirées qu’aller jouer au plombier, non ?
Autre intérêt : puisqu’il s’agit d’un fonds détenant de nombreux immeubles, de différents types, situés à divers emplacements et loués à des locataires variés, on prend finalement moins de risque en investissant en SCPI qu’en achetant un appartement toute seule comme une grande pour le mettre en location.
Bien sûr, comme tout placement, investir en SCPI implique également des frais (frais d’entrée et frais de gestion en particulier), un peu comme lorsqu’on achète un bien soi-même et qu’il faut payer le notaire, l’agent immobilier, le gestionnaire qui va se charger de sa location, etc.
CORUM gère 3 SCPI, possédant des immeubles en France, en Europe et même outre-Atlantique. Pour acheter des parts de SCPI, deux solutions : soit en direct, soit au sein du contrat d’assurance vie CORUM Life. CORUM L’Épargne met un point d’honneur à rendre ses produits accessibles, notamment aux plus jeunes. Ainsi, il est possible d’investir dans la SCPI CORUM XL dès 195 euros et dans la SCPI CORUM Eurion dès 204 euros. La bonne idée pour démarrer, c’est le plan d’épargne immobilier (PEI), accessible dès que vous détenez une part de SCPI en pleine propriété : ce PEI permet d’investir progressivement, au montant et à la fréquence que l’on souhaite. Les versements peuvent être réadaptés à tout moment, sans frais particuliers autres que les frais classiques s’appliquant à tout nouveau versement. On aime aussi le réinvestissement automatique des dividendes, qui permet d’épargner sans effort et d’augmenter de facto le montant de notre magot !
Et ce qu’on adore : que les SCPI CORUM comptent parmi les rares SCPI à verser les dividendes potentiels mensuellement, plutôt que trimestriellement. Parce qu’on n’a pas envie d’attendre 3 mois pour toucher nos sous, nous !
DEUX solutions D'INVESTISSEMENT adaptées QUAND ON EST JEUNE !
Vous l'aurez compris, SCPI et assurance vie sont deux solutions intéressantes à envisager, en particulier quand on est jeune et qu'on n'a pas une énorme tirelire à casser pour placer son argent. Parce que, Mesdames, on se le met dans le crâne : ce n’est pas parce qu’à 20 ou 30 ans, on a la vie devant nous qu’il ne faut pas commencer à se préoccuper de l’avenir… D’ailleurs, c’est peut-être justement parce qu’on a la vie devant nous qu’on ferait bien de s’y mettre, non ?
Donc finissons-en avec l'idée qu'il faut être riche comme Crésus pour commencer à épargner ! Mais attention aux arnaques et autres miroirs aux alouettes qui pullulent sur la toile et qui ont l’art de nous cibler, nous les jeunes. On n’oublie pas de se faire accompagner par un partenaire de confiance. Le sérieux de CORUM L’Épargne nous a convaincues !
Investissements à long terme. Risque de perte en capital. Performance et revenus non garantis. Risque de liquidité. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.