Selon la science, voici pourquoi certaines personnes n’aiment pas du tout les câlins

Qui dit réunions de famille dit forcément embrassades et accolades. Vous êtes plutôt team zéro contact (et ce même avant le covid) ? Il y a une explication scientifique à ce besoin d'éviter les contacts physiques.

Écrit par Juliette Gour le

En 2012, une étude publiée dans le Comprehensive Psycology essayait de comprendre d'où pouvait bien venir cette aversion pour les contacts physiques. Les premières recherches ont prouvé que ce n'était simplement qu'une question d'éducation. L'acceptation des contacts physiques viendrait d'habitudes prises dès les premières années de notre vie. Ainsi, si l'on a des parents plutôt tactiles, on aura tendance à l'être aussi et inversement, si jamais dans votre famille, on fuit les câlins et les contacts comme la peste. Cela dit, cette règle ne semble pas universelle pour autant, car certains enfants venant de familles très distantes semblent développer un besoin maladif de contact physique.

Les câlins, essentiels pour le bien-être ? 

Si l'éducation a un réel impact sur la façon d'accepter ou non les contacts physiques, il faut aussi prendre en compte le fait que les câlins et les contacts physiques ont aussi un impact positif sur le moral et le bien-être. Chaque contact physique, notamment les câlins, permet d'activer la libération d'hormones bénéfiques pour le corps humain comme l'ocytocine, et ce, tout en permettant de booster l'estime de soi et le bien-être global.

Faut-il se forcer à faire des câlins ? 

Effectivement, on aurait tout à gagner à parfois se forcer à faire des câlins aux personnes que l'on aime. De nombreuses études prouvent que les personnes qui font beaucoup de câlins sont moins stressées et moins malades que les autres. Il ne faut donc plus hésiter à étreindre ce que l'on aime, c'est bon pour la santé et c'est gratuit ! 

Enjoy,

Les Éclaireuses

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