#BodyGlory : Marina Mendez assume fièrement sa malformation !
Écrit par Salomé Chiche le
Girl boss spotted !
"Je le vaux bien", "je suis belle", "je peux le faire", "je me sens bien", "rien ne m'arrête", "je suis douée", "je crois en moi", "j'aime mon corps"...
Voilà les mini déclarations d'amour de vous à vous-même que vous méritez d'entendre pour réveiller la Boss Lady qui sommeille en vous. Le temps des doutes est révolu, jamais plus la pression de standards n’étouffera notre confiance en nous : pinky swear !
Notre corps a besoin d'amour, de bisous, de câlins tous les jours... et de mots doux ! Il nous aime certainement bien plus que n'importe qui : qui d'autre ferait tout ce qu'il fait pour nous ? Il n'est pas parfait, mais il est unique et c'est justement ce qui le rend beau. Soyons réalistes, si la perfection était à notre portée, ne perdrait-elle pas toute sa valeur ?
Ladies and ladies, nous avons une grande nouvelle. Notre radar à Girl Boss s’est fortement activé au Brésil, zoom sur la belle Marina Mendez !
Enjoy,
Les Éclaireuses
1. Qui est-elle ?
Marina Mendez est née avec une malformation mineure qui ne touche qu'un bébé sur 20 000. Cette marque de naissance autrement connue sous le nom de naevus mélanocytaire congénital couvre une partie de son nez, son oeil et sa joue.
2. Quelle est son histoire ?
À cinq ans, elle a subi trois traitements au laser pour réduire l'apparence de son naevus - car sa mère craignait d'être victime d'intimidation. Pourtant, l'opération n'a pas eu d'effet et Marina a dû vivre avec. Si elle a été souvent sujette aux moqueries à l'école, elle a réussi à en faire une force !
3. Comment en a-t-elle fait sa force ?
Aujourd'hui, Mariana Mendes a 24 ans et subit quotidiennement de la part de certaines personnes des réflexions à propos de son naevus mélanocytaire congénital considéré selon eux comme "laid", "étrange". Malgré ces jugements, elle a appris à s'aimer, à accepter sa différence et à en faire son combat. Elle déclare se sentir plus belle et plus fière depuis qu'elle a appris à accepter son naevus. "Avoir un naevus aussi grand que le mien n'est pas courant, alors bien sûr, il y a beaucoup de gens qui le regardent et qui ne l'aiment pas, mais je m'en fiche."